5/17/2015

Qui est Madame Frédérique Pelletier ?

Par Harun Köksal et Kübra Taştemir



Nous avons posé les questions à Madame Frédérique sur la Turquie et suite à ses réponses on a dit « Maaşallah ».

Est-ce que vous pourriez brièvement vous présenter ?

Je suis à Galatasaray depuis Septembre 2001. D’abord, j’étais responsable du projet du Centre d’Auto d’Apprentissage ; et puis professeur et maintenant je suis la coordinatrice de l’équipe depuis 2010.

Vous êtes une française à l’étranger. Est-ce que vous êtes contente du vivre à Istanbul, en Turquie ? Est-ce que vous avez visité des autres villes de la Turquie ?

Il y a 14 ans, je suis à Istanbul et je me plais beaucoup à Istanbul et en Turquie.  Néanmoins, les premières années, j’ai fait tout le tour de la Turquie. J’ai visité toute la côte ouest. Depuis Tekirdağ, Çanakkale et la côte du sud je connais bien jusqu’à Alanya, Fethiye. Ensuite, je suis allée à Gaziantep, à Urfa, à Van, à Diyarbakır, à Mardin, Kars, Trabzon. 

Sivas? Je suis Sivasien. (Harun)

Oui, j’y suis passée une fois :) Il y a quelques villes que je ne connais pas comme Konya, je regrette. C’est-à-dire… je connais bien la Turquie.

Les émotions sur le Bosphore

GSU se trouve au bord du Bosphore. Quand vous passez le temps à GSU ? Quelle émotion ressentez-vous ?

Je suis attachée au projet de la francophonie à Galatasaray. Il y a déjà de l’émotion même quand je ne suis pas sur le Bosphore. Évidemment, il y a la bouffée d’oxygène sur le Bosphore. C’est un point intéressant parce qu’on voit beaucoup de choses géographiques, on est à la frontière entre deux continents. C’est un peu mythique d’être en Europe et de voir la côte asiatique… et puis historiques. On voit de Topkapı, l’arrivée de la technologie avec les ponts, les mosquées, etc. Et puis surtout, on voit des dauphins passer ! D’ailleurs, je suis toujours en train de regarder dans l’eau, les méduses, etc. Ça c’est une chose et après de voir les gens vivre – les étudiants –  regarder comment ils se comportent, la communication entre eux, etc. Donc, c’est un spectacle… Galatasaray.

Vous êtes une des professeurs qui enseigne la langue française à GSU. D’après vous, quelle est la meilleure façon d’enseigner une langue ?

Ce qui est important, c’est le contexte. On n’apprend pas une langue isolément. On apprend une langue parce qu’on veut faire des choses avec cette langue. Il y a des différences entre l’Institut Français à Taksim et GSU. On met en place quelque chose, un dispositif, un système pour que les étudiants apprennent leur discipline. Ce n’est pas la même chose qu’apprendre justement le tourisme. Ils apprennent  le française parce que le française va les aider à comprendre leur matière, va les aider à comprendre le monde aussi. Ensuite, sur les méthodes, le mot « facile » ne dit pas grand chose. Qu’est-ce qui est facile ? Qu’est-ce qui n’est pas facile ? Pour une même chose, un  étudiant va trouver la chose facile, pour un autre étudiant ce sera difficile. Je pense qu’on crée un système qui motive l’étudiant. Pour le motiver, il faut qu’il comprenne pourquoi il apprend.

La deuxième chose pour le motiver, c’est un rôle actif. Celui qui prend la décision ou celui qui fait n’est pas seulement là pour noter, il est là pour faire. C’est surtout plus efficace.
Et puis la troisième chose qui m’intéresse, moi, dans les méthodes qu’on apprend le français à travers l’apprentissage du français est plus important parce que entre maintenant et l’âge de vos parents et de vos grands-parents, ils ont fait les mêmes métiers toute leur vie. Aujourd’hui, on est dans un contexte complètement différent. Moi, par exemple, c’est mon troisième métier. J’ai fait d’autres métiers avant. La chose la plus importante à apprendre, c’est de s’adapter à différents établissements, à différentes  méthodes de travail. Donc, la méthode la plus facile n’existe pas. Chacun est différent mais la méthode la plus efficace, c’est de dire «  j’apprends pour faire des choses et pour pouvoir continuer à apprendre toute ma vie ».

Le inférences de 14 années au GSU
Nous avons parlé de la situation des étudiants de GSU , elle a donné son opinion.

Les étudiants de GSU, ont-ils passablement de possibilités techniques pour apprendre le français ?

Les étudiants Turcs déjà oui. Je pense que vous avez des aptitudes parce que vous êtes des étudiants spontanés. Par exemple,  en France, les étudiants ont toujours peur de prendre la parole. Vous n’avez pas cette peur. Donc, vous avez la capacité de produire plus facilement. Ça, c’est vrai. Au surplus, vous entendez bien et vous entendez peut-être mieux que certaines cultures car vous avez une bonne oreille musicale dans les cultures Turques. Et puis troisièmement à Galatasaray, on a des étudiants qui sont sélectionnés, les meilleurs étudiants de la Turquie. Donc, il y a une compétence intellectuelle élevée. C’est pourquoi il y a tout, ça marche à Galatasaray.

Les étudiants qui préfèrent GSU ne viennent pas en voulant l’éducation en français. Ils le préfèrent généralement pour la réputation de GSU. Pensez-vous que ce soit un problème pour les professeurs pendant l’éducation ?
Si un étudiant arrive en classe de préparatoire et qu’il ne veut pas apprendre la français, c’est effectivement un problème pour les professeurs. Le travail des professeurs, c’est de montrer aux étudiants tout l’avantage qu’il y a à apprendre le français. Je pense que tu exagères un petit peu. Il y a des étudiants qui veulent apprendre la français et qui aiment la français.

Une année et une langue
On a parlé des niveaux en français des étudiants de GSU et elle a répondu sincèrement. Elle nous a  donné des informations sur les changements survenus en « Hazirlik ».

Lorsque les étudiants de la classe préparatoire passent en licence, ont-ils un niveau suffisant en français pour apprendre leur cours ?
Avant 2009, il y avait deux années de classe préparatoire, le niveau était mieux en arrivant en licence. En 2009, il a été décidé deux choses : de faciliter les cours en licence 1 pour justement l’adaptation des étudiants parce que « Hazirlik » n’est plus qu’une année.
Si un étudiant réussit bien en fin de « Hazirlik »  avec une bonne note et si les départements ont facilité les cours, ça devrait bien se passer. Par ailleurs, si un étudiant réussit avec environ seulement 48-49 , il a moins de qualité, moins de compétences pour suivre les cours en première année.

Elle a répondu avec quelques critiques et mots d’esprit.

Est-ce qu’une année est assez pour apprendre une langue et pour le français ? 

Généralement, les étudiants calculent, ils raisonnent en terme de notes quand ils raisonnent en terme de notes, ils disent : « oui, ça y est » à partir du mois d’avril, j’ai assez de points. Donc, j’arrête de travailler. C’est le problème.
Si un étudiant suit régulièrement le travail que lui donne le professeur, il peut en travaillant régulièrement réussir avec un bon niveau. S’il raisonne avec les notes, l’année n’est pas suffisante.

Être étudiant à GSU

Si vous étiez étudiante, est-ce que vous voudriez étudier à GSU ? Pourquoi ?
C’est une question que je ne me suis jamais posée parce que j’ai fait des études de biologie. Il n’y a pas de département de biologie à GSU et maintenant je suis vieille, je ne suis pas en situation d’étudiante. Si j’étais jeune, par exemple si j’étais une étudiante de sociologie, oui je voudrais bien mais comme j’ai dit, j’aimais faire d’étude génétique.

Le grand avantage
Nous ne sommes pas nombreux au campus de Gsu c’est bien selon des gens mais plusieurs personnes oublient : peut-être ça veut dire que c’est quota. Elle a donné son avis et expliqué l’origine de cette situation.

D’après elle, est-ce que c’est un avantage que les étudiants ne soient pas nombreux en classe et au campus ?
L’université a été créée en 1992 par les Président turc et français de l’époque. Il y a un article  qui dit : « apprendre les relations internationales en langue française avec des méthodes françaises ». C’est quand même difficile, il faut un petit quota de petit effectif par classe. Échanger avec des professeurs en classe donc c’est quelque chose qui a été décidé pour être un avantage pour les étudiants. Ça veut dire que les étudiants en licence, il faut qu’il puisse poser des questions librement, demander des choses aux professeurs, donner leur opinion pour qu’ils parlent mieux français. Donc, c’est des grands avantages.

Continuer l’apprentissage de la langue pour but
Les étudiants de GSU profitent de l’occasion pour apprendre plusieurs langues. C’est super mais ensuite ?

à GSU, il y a plusieurs langues enseignées, comment est-ce que les étudiants peuvent utiliser cet avantage après avoir étudié ?

L’objectif de GSU, un étudiant quand il termine de licence, il sait trois langues, en français niveau C1 et anglais . C’est le but. Les étudiants diplômés du GSU, ils sont capables d’apprendre.

C’est important déjà de pouvoir aller étudier aux Etats-Unis ou en France ou encore au Canada, de pouvoir aller en Belgique, de pouvoir maitriser ces trois langues. C’est important de pouvoir lire des articles dans des langues principales.

Si on veut faire un métier académique, c’est indispensable, de maitriser l’anglais et le français, si on veut  travailler au bureau, etc. Si on connait des langues, on peut changer de professions ou changer de lieux de travail. 

Et la plus importante chose, c’est qu’il faut pouvoir parler des langues étrangères pour contacter et aussi rencontrer des étrangers.

Enfin, si tu peux parler des langues étrangères, tu peux faire le métier que tu veux. C’est très important.

Une petite question
Dès qu’on a appris qu’elle connaissait bien la Turquie et qu’elle était en Turquie depuis 2001, on a été curieux et on lui a demandé…

Est-ce que vous parlez le turc?
Justement, je connais mal (en riant) c’est très mal. Je comprends bien mais par contre j’ai beaucoup de difficultés à parler parce que tout le monde veut parler en anglais, en français. Je ne peux pas progresser parce que je passe beaucoup de temps au travail et je parle français. Je devrais pouvoir connaitre très bien en turc.

Nous avons été désolés qu’elle ne parle pas en turc avec nous. Nous avons remercié madame Frédérique pour cette interview.

Apprentissage Automatique

Par Harun Köksal

L’apprestisage automatique est une champ des études de l’intelligence artificielle . Cette technologie est la discipline scientifique concernée par le développement, l'analyse et l'implémentation de méthodes automatisables qui permettent à une machine (au sens large) d'évoluer grâce à un processus d'apprentissage, et ainsi de remplir des tâches qu'il est difficile ou impossible de remplir par des moyens  algorithmiques plus classiques.



L’apprentisage automatique se focalise ces sujets qui sont se faire percevoir des systèmes complexes et se faire décider judicieusement sur des données . Des systèmes complexes peuvent être analysés, y compris pour des données associées à des valeurs symboliques (des valeurs numeriques,des probablités) ou un ensemble de modalités possibles sur un attribut numérique ou catégoriel. L'analyse peut même concerner des données présentées sous forme de graphes ou d'arbres, ou encore de courbes. Par exemple, la courbe des données présentées , on parle alors de données continues, par opposition aux données discrètes associées à des attributs-valeurs classiques.

Cette technologie intéresse plusieurs champs comme statistiques, théorie des probabilités, l'exploration de données, reconnaissance de formes, intelligence artificielle, contrôle adaptatif, et des sciences de l'informatique théorique.

Principes

Les algorithmes utilisés permettent, dans une certaine mesure, à un système piloté par ordinateur (un robot éventuellement), ou assisté par ordinateur, d'adapter ses analyses et comportements en réponse, en se fondant sur l'analyse de données empiriques provenant d'une base de données ou de capteurs.

La difficulté réside dans le fait que l'ensemble de tous les comportements possibles compte tenu de toutes les entrées possibles devient rapidement trop complexe à décrire  dans les langages de programmation disponibles. On confie donc à des programmes le soin d'ajuster un modèle permettant de simplifier cette complexité et de l'utiliser de manière opérationnelle. De plus, ce modèle est adaptatif, de façon à prendre en compte l'évolution de la base des informations pour lesquelles les comportements en réponse ont été validés, ce que l'on appelle apprendre ; ceci permet d'auto-améliorer le système d'analyse ou de réponse (commande adaptative…), ce qui est une des formes que peut prendre l'intelligence artificielle.

Ces programmes, selon leur degré de perfectionnement, intègrent éventuellement des capacités de traitement probabiliste des données, d'analyse de données issues de capteurs, d'informatique théorique, etc.

Application

Les champs utilisées principales de l’apprentisage automatique, ces sont dans ce domaine : vision, reconnaissance d'objets (visages, schémas etc.) ; moteurs de recherche ; aide aux diagnostics, médical notamment, bio-informatique, chémoinformatique ; interfaces cerveau-machine ; détection de fraudes à la carte de crédit, analyse financière, dont analyse du marché boursier ; classification des séquences d'ADN ; jeu ; génie logiciel ; sites Web adaptatifs ou mieux adaptés ; locomotion de robots ; etc.

Type d’apprentisage

Les algorithmes d’appresntissage peuvent se catégorise des issues qui sont butés , selon le mode d’apprentissage qu’ils emploient souvent :
L’apprentisage supervisé : Entrées génère une fonction qui mappe la sortie cible.

L’apprentisage non supervisé (ou classification automatique) : Un ensemble de modèles d'entrée.

L’apprentissage semi-supervisé : Étiquetés et non étiquetés échantillons pour former des fonctions ou des classificateurs appropriés poignées ensemble.

L’apprentissage partiellement supervisé : L’étiquetage des données est partiel.

L’apprentissage par renforcement : Un style d'apprentissage basé sur la perception du monde. Chaque action génère un impact sur l'environnement et de l'environnement, montrant le chemin de donner une rétroaction sous la forme d'algorithme d'apprentissage de récompense.

L’apprentisage par transfert :  L’apprentissage par transfert peut être vu comme la capacité d’un système à reconnaître et appliquer des connaissances et des competences, apprises à partir de tâches antérieures, sur de nouvelles tâches ou domaines partageant des similitudes.

Facteurs de Pertinence et d’Efficacité

La qualité de l'apprentissage et de l'analyse dépendent du besoin en amont et a priori de la compétence de l'opérateur pour préparer l'analyse. Elle dépend aussi de la complexité du modèle (spécifique ou généraliste), de son adéquation et de son adaptation au sujet à traiter. In fine, la qualité du travail dépendra aussi du mode (de mise en évidence visuelle) des résultats pour l'utilisateur final (un résultat pertinent pourrait être caché dans un schéma trop complexe, ou mal mis en évidence par une représentation graphique inappropriée).
Avant cela, la qualité du travail dépendra de facteurs initiaux contraignants, liées à la base de données :
Nombre d’exemples

Nombre et qualité des attributs


Pourcentage de données renseignées

« Bruit » : le nombre et la « localisation » des valeurs douteuses

Prospective

Il est tentant de s'inspirer des êtres vivants pour concevoir des machines capables d'apprendre.

Ainsi, même si l'apprentissage automatique est encore avant tout un sous-domaine de l'informatique, il est également intimement lié aux sciences cognitives, aux neurosciences, à la biologie et à la psychologie, et pourrait à la croisée de ces domaines, nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives, aboutir à des systèmes d'intelligence artificielle plus performants.
Note et référence : www.wikipedia.fr

5/13/2015

Les élections générales en Turquie

Par Yusuf Akçakaya

La Turquie se préparent les élections générales qui ne sont pas date loin. On jete un coup d'ìil sur les préparations des partis candidats.


En effet, bien que Erdogan dise "J'attends 400 députés aux sélections, l'AKP ne travaille pas assez pour réussir, ne se prépare pas aussi. Pourquoi?

C'est une idée que certains personnes pensent, l'AKP a deja le vote assez pour fonder le gouvernement tout seul. D'autre idée sur cela, Davutoglu ne veut pas beaucoup de votes, parce qu'il ne supporte pas la présidence d'Erdogan. Si l'AKP gagne en écartant les élections générales, Erdogan peut apporter le système de la présidence.

Le CHP ''le parti l'opposition principale''  selon les élections dernières se voit dans une préparation bonne. Il a commencé tôt les identifications des candidats. Bien plus, le chanson qui a fait aux sélections est très populaire. Le slogan s'appelle ''Milletce Alkisliyoruz!''

Le MHP ''d'autre parti opposition'' ne change pas bien discours classique. Malgré cela, ils semblant être plus réussi d'après l'élection dernière. On le voit quand les associations des enquêtes en expliquant les résultats.

En conclusion, l'HDP et le SP restent pour critiquer. A mon avis, après les élections, on peut voir les résultats réels. Je pense que les suppositions ne sont pas peux prévoir.


Reportage avec Bahadır Sungur, le Chef du Club « Science Politique »

Par Yusuf Akcakaya
Bonjour Bahadır!

Bonjour Yusuf!

Tout d'abord, je voudrais te remercier d’avoir accepté cereportage. 

Je t'en prie.

Depuis quand le club de science politique existe-t-il àl'université Galatasaray?

Depuis 1999, notre club a été fondé. Donc, nous sommes une équipe enracinée

Quelles activités faites-vous? 

Nous organisons en général des causeries lors desquelles on invite un penseur ou un intellectuel de l’université. Ensuite, nous réfléchissons ensemble sur le sujet de la causerie. C’est une bonne activité qui fait penser chacun de nous. 
En plus des causeries, avec les étudiants qui veulent participer, nous discutons aussi ensemble de temps en temps sur une idée que nous avons choisie.  

Quels projets pensez-vous faire l'année prochaine?

L’année prochaine, comme je vais partir comme étudiantErasmus, je ne vais pas être le chef du club. Si vous voulez, posez cette question au nouveau chef. Il sera sélectionnéprochainement. 

Que pensez-vous de la participation des étudiants à vos activités?

En clair, les participations à des activités ne sont pas asseznombreuses et satisfaisantes. Pourquoi ? Selon moi, le fait que l'université Galatasaray ait peu d'étudiants et que les cours soient très difficiles et aussi parce que le nombre de cours hebdomadaires dépasse les « bornes », etc. Toutes ces raisons font que nous avons un programme trop, trop chargé !!!

Est-ce les participants sont contents?

J'ai eu de bons retours des participants avec qui j'ai parlé. Surtout, ils sont contents des qualités des personnes qui viennent. 

Les étudiants qui veulent participer au club que doivent-ils faire?

Nous avons déjà Facebook et Twitter. S’ils veulent, ils peuvent nous contacter par les réseaux sociaux ou encore, quand ils nous voient, bien sûr. Nous attendons des étudiants motivés !

5/12/2015

Les Dispensaires en Turquie

Par Mehmet Önoğul

Le dispensaire est un centre de soins qui offre une vie sociale aux personnes vieilles qui ne peuvent pas assouvir leur besoin pendant qu’elles continuent leur vie et qui accueille leurs soins pendant leur vie. D’ailleurs, ces centres ne sont pas généralement sans gratuité.


La priorité d’un dispensaire

Pendant qu’il reçoit les besoins des familles et des individus, il trouve les solutions qui augmentent leurs conforts et leurs qualités de vie. Cela est le but essentiel. 

Le dispensaire bute parvenir aux personnes qui ont les besoins de soins de longue durée et réduire le service accessible.

Il profite de l’innovation, de la technologie et de l’information qui augmente sa qualité de service. D’ailleurs, il faut qu’ils développent des domaines de spécialisation de « l’Infirmier de Soins » et du « Personnel de Soins » et qu’ils forment les programmes de certificat professionnel en collaborant avec les universités.

Les droits des hôtes

Les hôtes peuvent apprendre comment les services fournis par la fondation travaillent. D’ailleurs, ils peuvent apprendre les prix et les conditions d’utilisations de ces services. Ils peuvent recevoir des soins en choisissant la fondation qu’ils veulent mais il faut qu'il n'y ait pas de problème au regard du danger vital.

Il faut que les centres de soins expliquent des informations qui sont obtenues légalement. Il faut qu’ils cachent les diagnostics médicaux et la ressources des dépenses santés. Si la maladie ne nécessite pas son contenu, ces centres ne doivent pas intervenir dans la vie personnelle et familiale des hôtes.



Les responsabilités des hôtes 

Les hôtes doivent donner l’information correcte, complète au docteur, à l’infirmier et aux personnels santés qui font leur soins. Ils doivent être sensibles aux mesures qui sont proposées pour ne pas propager les maladies.

Ils doivent donner leur consentement dans les sujets importants sur les services santé qui sont donnés.

Les gens ont besoin de recevoir des soins d'autres personnes pendant l’enfance et quand ils sont âgés, ils veulent voir le même intérêt, bien plus ils doivent voir parce que les gens sont incapables de travailler… comme le bébé.

Nous devons protéger les personnes âgées dans notre entourage. Nous devons les respecter et les protéger. Nous ne devons pas les délaisser. Nous devons les visiter dans les fêtes et dans leurs jours spéciaux. Nous ne devons pas oublier que nous serons vieux comme eux.

Restaurants et Cafés à Beşiktaş

Par Mehmet Önoğul

Notre université se trouve entre Beşiktaş et Ortaköy. À Beşiktaş ou à Ortaköy, il y a plusieurs places où vous pouvez aller confortablement avec vos amis ou votre famille, où vous pouvez manger les repas sains, frais, purs et qui ont été décorées façon moderne. Nous nous sommes promenés des cafés et restaurants pour vous.


Les places où vous pouvez prendre le petit-déjeuner 

Pando Kaymak

C’est un café de petit-déjeuner où son histoire et son qualité continuent depuis 1895 et elle est la plus ancienne café à Beşiktaş. Le miel, la crème et le lait ou le thé coute 6 TL. Elle est ouverte entre 8 heures et 15 heures.

Çakmak

Le chef du café de petit-déjeuner est erzincanien (une ville de la Turquie) et s’intéresse de la cuisine d’Erzincan. Le miel, le fromage de chèvre et le confit sont les produits les plus spéciaux du café et tous ont d’Erzincan. L’omelette avec du confit coute 9 TL, le miel et la crème coute 5 TL, l’assiette du petit-déjeuner pour deux coûte 20 TL avec le thé sans limites. Elle est ouverte entre 7 heures et 19 heures.

Deep Store

Ce café est connu avec son « Mıhlama » et son coût est le même avec le saucisson de Kayseri. Ils coûtent 8 TL. D’ailleurs, il y a le pancake pour les personnes qui aiment le dessert au petit-déjeuner.

Il y a d’autres cafés comme « Kültür Kafe » qui se trouve dans le quartier Kültür, « Sanatçılar Kafe » qui se trouve dans le quartier Etiler, « Sporcular Kafe » qui se trouve dans le quartier Konaklar, « Levent Kafe » qui se trouve dans le quartier Levent, « Akatlar Kafe » et « Ortaköy Kafe » sont des exemples

Restaurants où vous pouvez manger

Ces cafés dont nous avons parlé sont idéals pour le petit-déjeuner mais maintenant nous voulons parler des restaurants. 

Les restaurants de Beşiktaş sont aussi bonne qualité comme ses cafés. Les prix peuvent être chers pour les étudiants mais nous avons recherché des restaurants pour vous et avons produit ce tableau :

  Les Restaurants Pour deux
Malta Köşkü Restaurant 65 TL
Dürümce 65 TL
Karadeniz Pide ve Döner 25 TL
Biber Burger 50 TL
Sinop Mantı 40 TL
Balkan Lokantası 35 TL

Ce tableau ne parle pas tout. C’est pourquoi, nous avons demandé l’avis aux clients qui fréquentent ces restaurants.

Malta Köşkü Restaurant 

Seda Lokum : « c’est un paradis parmi les arbres dans le centre de la ville. Dans les mois d’été, Kız Kulesi apparait de son jardin. Son exploitation est Beltur qui est une entreprise alimentaire et elle n’est pas male. C’est une bonne place historique.»

Berk Bülten : « C’est un restaurant que nous préférons pour le petit-déjeuner et que j’aime beaucoup. En priorité, comme elle se trouve dans le parc Yıldız, il n’est pas nécessaire que je parle de son paysage magnifique. L’ancienneté du manoir l’a ajouté un air magnifique. Comme c’est tenu par la municipalité, les prix ne sont pas chers. La diversité et la délicatesse des petits-déjeuners sont magnifiques. Il  peut être votre priorité pour le petit-déjeuner mais faites attention… Il n’y a pas de réservation et il y a beaucoup du monde le week-end. Cela raison pour laquelle, vous dépêchez-vous. »

Dürümce

Reyhan Demir : « c’est un rôtisseur où je continue aller toujours. Malheureusement, il ne donne pas son Beyti qui est rond. Je n’aime pas de pain qui est donné à coté du hors-d’œuvre. Si vous n’êtes pas nombreux, vous ne pensez pas prendre la viande crue au milieu de la table. Vous vous rassasiez en la mangeant. Je conseille aussi son Künefe. En dehors de cela, les repas, le hors-d’œuvre, les prix et la rapidité sont idéaux. 

Karadeniz Pide ve Döner

Pelin Akyazı : « Si vous ne mangez pas son Döner magnifique, ne dites pas que vous avez mangé un Döner !!! J’ai mangé des Döner dans différents lieux à İstanbul mais c’est là qu’ils sont les meilleurs. Cet endroit est un bâtiment à deux étages et bien qu’il y ait des tables à l’extérieur du bâtiment, vous devez attendre un peu pour parvenir au Döner délicieux parce que plusieurs personnes y viennent. Il faut que vous vous entriez à la file de client pour manger sur pied mais si vous préférez vous asseoir à l’intérieur du bâtiment, la file vous attend. Le prix est moyen. Le Döner de rouleau et le babeurre coutent 15 TL. »
Onur Korkmaz : « Le devant d’Asım Usta qui se trouve à Çarşı est toujours plein aux heures des repas. Le döner finit jusqu’à 4-5 heures. Je ne peux pas retrouver la saveur ancienne parce que la demande augmente et ils font suffire difficilement les demandes mais je pense aussi qu’il est l’un des restaurants qui sont les meilleurs à İstanbul. Comme la demande augmente, j’ai vu que les prix augmentent. Je crois qu’ils n’entretiennent pas cela. »

Biber Burger

Önder Kırmızıtaş : « C’est un restaurant joli et petit. Les employés sont gentils et compréhensifs. Il n’y a pas le système de la climatisation ou le système est hors service car l’intérieur est étouffant, il y a les odeurs de grillé. J’ai mangé le Jetlag qui est un des hamburgers et ma femme a mangé l’Amarillo. Amarillo était plus délicat que le Jetlag. La patate épicée n’était pas très bonne. La limonade était bien. Selon moi, c’est un joli restaurant et les prix sont conformes. »

Sinop Mantı

Nurçin Bozkurt : « En étant une personne qui aime le Mantı, je pense que les meilleurs Mantı de la mer Noire sont cuisinés là. J’aime beaucoup les Mantı mixtes avec la noix et le yaourt. Une portion coute 17 TL avec une assiette riche. Il y a le dessert de figue et le riz au lait,  ils coutent 10TL. »

Balkan Lokantası

Deniz Gümüş : « Le restaurant Balkan qui se trouve au centre de Çarşı soulage à l’étudiant, aux personnes qui vivent seules, qui ne peuvent pas cuisiner. Le menu apparait varié mais les repas qui sont donnés pendant la semaine changent rarement. Ses goûts sont assez pour se rassasier. Il a un endroit large, il y a quelques étages. L’endroit prend le point élevé du prix/la performance. C’est un endroit où vous pouvez vous rassasier en payant 15-20 TL. » 

Vous pouvez aller à ces restaurants de l’université GS en marchant 15-20 minute. Si vous prenez le bus, cela dure 5-10 minute. Nous vous conseillons seulement, la préférence est à vous. 

Bon appétit !

5/11/2015

Sauver les Migrants

Par Hesna Begüm ÖZEL

L’immigration illégale en Europe est un problème global tant en termes de causes que de conséquences.
   


Le naufrage d’un bateau de pêche dans la Méditerranée, qui a conduit à la mort de 700 migrants clandestins le 19 Avril, a ouvert une discussion sur le problème de l’immigration illégale (et légale aussi) en Europe.  Certains disent qu’on a besoin d’immigrés parce que l’économie des pays européens a besoin d’eux pour les faire travailler dans des emplois sous-payés que très peu de Français voudraient faire. En revanche, d’autres affirment que ce n’est pas nécessaire d’accueillir plus d’immigrés parce qu’ils provoquent l’augmentation du chômage en Europe.  Donc la question principale semble plutôt être : faut-il fermer les frontières de l’Europe pour empêcher l’afflux des immigrés ?

Les causes sont anciennes


Ce qui me frappe dans cette discussion, c’est l’absence de la mention de la façon dont nous


nous sommes retrouvés ici. D’après moi, la question initiale à poser est pourquoi montent-ils dans les bateaux pour venir en Europe ? Lire un peu d’histoire du monde suffirait pour comprendre pourquoi. C’est un processus historique où les impérialistes européens ont conquis les pays étrangers, particulièrement au XIXème siècle dans une compétition de l’accumulation du capital et de l’industrialisation pour trouver des matières premières afin qu’ils réduisent le coût des produits industriels. C’était essentiellement une politique pour s’enrichir eux-mêmes en rendant pauvres les autres qui continuent à l’être encore aujourd’hui. A cause de la pauvreté, ils doivent quitter leur pays avec l'espoir qu'ils auraient une vie « meilleure » en Europe. Malheureusement, ce n’est pas toujours une fin heureuse, comme cela a été récemment le cas dans la Méditerranée.

Qu’est-ce qu’il faut faire ?

Bien que ce soient les institutions européennes qui sont responsables de proposer et d’apporter des solutions – et on sait qu’ils les font, voici mon humble opinion sur ce sujet.

D’un côté, je pense qu’il faut laisser ouvertes les frontières pour des raisons humanitaires.  De plus, selon la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1948, tout le monde est libre de quitter son pays. Même si elle ne précise pas les destinations possibles, l’Europe est indubitablement l’une de ces destinations, où au moins certain d’entre eux pourraient prospérer. Mais on sait que ce n’est pas une solution à long terme ni totalement adéquate à un problème global. 

D’un autre côté, je pense qu’il faut fermer les frontières et ce, pour raisons humanitaires. Si le but principal d’accepter les immigrés est de les recruter aux emplois pénibles (je pense notamment aux baby-sitters, aux employées de maison, aux éboueurs, aux ouvriers du bâtiment, etc.) que les autres citoyens des pays européens dénigrent, c’est à mon avis, aussi une autre forme d’exploitation qui s’appelle Darwinisme social. Comment peut-on légitimer qu’ils doivent prendre ces travails parce qu’ils sont tout simplement non-européens ? 


Sauver les Migrants : est-ce possible? 

Comment est-ce qu’on peut « sauver » les migrants non seulement de la noyade mais aussi de l’exploitation, de l’inégalité ou encore de la discrimination? Les Tritons ou les politiques « meilleures » pour la migration régulière; sont-ils suffisants? Je pense que non. C’est possible tout simplement en les amenant à ne pas prendre le bateau, c’est-a-dire en améliorant leur niveau de vie dans leur propre pays pour qu’ils n’aient pas besoin de venir en Europe, même si cela semble très loin pour être réel pour l'instant.



Remarque de la rédactrice : Ne pas oublier les difficultés politiques des pays en question : nombreux sont les Présidents qui ont confisqué non seulement le pouvoir politique mais aussi les ressources économiques …

Le Système d’Education en Turquie

Par Togan Kılıç
Bien que l’éducation joue un rôle importante pour l’avenir d’un pays, le gouvernement turc ne poursuit pas les politiques progressives dans le domaine de l'éducation.
L'éducation est la facteur fondamentale pour la développement d’un pays. La qualité de l’éducation définit l’avenir d’un pays. Si les jeunes dans un pays sont qualifiés, l’avenir de ce pays est en sûreté. Pour cette raison, les gouvernements doivent prêter de l’importance à l’éducation.  
Le système d’éducation devrait canaliser les jeunes pour être créatives. Donc, s’il base sur l’apprentissage par cœur, il n’y aura pas de progrès. Les enfants doivent être enseignés la créativité. Il faut qu’ils utilisent leurs imaginations et leurs intelligences. Si les professeurs ne donnent pas les devoirs pour révéler leurs créativités et pour faire face aux problèmes, les enfants ne seraient pas utiles pour l’avenir de leur pays.
Le système d’éducation en Turquie n’est pas suffisant selon la plupart des étudiants et des professeurs. Dans les écoles, les leçons ne sont pas efficaces, les devoirs n’assurent pas le développement.  Dans les écoles, les leçons sont enseigné aux étudiants par cœur mais ce n’est pas adéquate pour le programme d'études supérieure. Pour suivre le programme d'études les élèves ont besoin du renfort. Alors, pour recevoir des renforts, les élèves prennent les leçons privées, vont aux cours supplémentaires (dershane)… Les élevés ont du succès  à grâce de ces cours. Malgré ce fait, le gouvernement décide qu’il va supprimer les cours supplémentaires. Dans ce cas, le gouvernement doit augmenter la qualité d’éducation dans les écoles secondaires. Le gouvernement risque l’avenir du pays.

Avec ces examens universitaire posent les questions qui se sont base sur mémoire et avec cette insuffisance dans le système, il aura ni une éducation progressive ni d’une élection équitable parmi les élevés.

Interview Avec Monsieur J.J.Paul, Recteur Adjoint de L'Universite Galatasaray

Par Deniz Dağaşan et Uğur Yıldızlı

Vous êtes recteur adjoint de GSU, pourquoi avez-vous choisi de travailler en Turquie ? 

J. J. Paul : Avant, j’étais professeur d’économie à l’université de Dijon en France. Puis, avant d’être en Turquie, j’étais au Cambodge en Asie.  J’avais la même fonction au Cambodge, j’ai passé quatre années au Cambodge. Eh donc, après  quatre ans passés au Cambodge, je voulais continuer une expérience internationale. Comme le poste de recteur adjoint à l’université de Galatasaray était vaquant, j’ai déposé ma candidature pour être recruté. J’ai donc été recruté par le ministre français des affaires étrangère comme recteur adjoint du GSU. Je connaissais simplement un tout petit peu la Turquie. J’étais venu avec mon épouse à Istanbul trois jours en vacances,  il y a vingt ans. Je n’avais pas de contact, je connaissais la réputation de GSU bien sûr, j’avais déjà entendu parler de GSU. Je ne connaissais pas particulièrement. Je voulais surtout garder une expérience internationale. 


Quels sont les avantages de travailler en Turquie ? 
J. J. Paul : Il y a des avantages personnels et des avantages professionnels. Les avantages personnels sont des avantages familiaux. C’est comme je viens de vous dire, je voulais continuer à rester à l’étranger. J’aime vivre à l’étranger, j’aime découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles langues, de nouveaux pays, de nouvelles civilisations, etc. Mais en même temps,  j’ai une partie de ma famille qui est en France, j’ai une fille et des petits -enfants qui sont en France : une petite fille et deux  petits garçons. J’ai ma mère qui est très âgée qui vit en France, mon épouse est brésilienne, donc j’ai toute une partie de ma famille au Brésil. Donc j’ai voulu me rapprocher. J’avais la possibilité de rester en Asie mais l’Asie, c’est très loin. J’ai voulu me rapprocher de l’Europe donc İstanbul me permettait de rapprocher de l’Europe.  

Et les avantages professionnels ? 

J. J. Paul : Alors, d’un point vue professionnel, c’est que Galatasaray  est une université comme vous le savez réputée et donc le poste de recteur adjoint, c'est un poste très intéressant parce que l’université elle-même est une université réputée. Les étudiants sont en général d’un bon niveau, les collègues, les autres professeurs sont intéressants et puis en même temps  nous avons beaucoup de liens avec les universités françaises. Je continue à avoir  beaucoup de liens aussi avec les universités françaises. 

Combien de cours vous donnez chaque semaine et à quel niveau ? 

J. J. Paul : Alors, en ce moment, je donne deux cours par semaine : un cours de trois heures de macro économie en première année de licence et je donne trois heures d’économie de développement en quatrième année de licence au deuxième semestre. En plus au premier semestre j’en ai donné un en quatrième année de licence aussi. 

Pourquoi les enseignant français ne peuvent-ils que travailler cinq ans au maximum en Turquie ? 

J. J. Paul : Alors dans mon cas c’est la même chose, c’est ma quatrième année ici. Pour les autres enseignants, c’est parce que le ministère français des affaires étrangères veut que les gens changent régulièrement de poste et il ne veut pas que les gens deviennent fonctionnaires. Je préfèrerais que les gens restent plus longtemps mais cela, c’est une décision du ministère. 

Ça fait deux ans que le bâtiment a brulé. Pourquoi n'est-il pas encore réparé ? 

J. J. Paul : Le problème le plus important, c’est que le bâtiment qui a brulé est un  bâtiment classé monuments historiques comme Dolmabahçe, comme Topkapi, etc. et toutes les opérations concernant ce bâtiment-là doivent être approuvées par une commission qui est la commission nationale, qui est la commission des monuments historiques. Et, donc, on a un architecte qui a proposé un plan de reconstruction du bâtiment mais le problème c’est que le plan qu’il a proposé n’a pas reçu la permission de la commission de monuments historiques. Pourquoi ? Parce que la commission des monuments historiques  voudrait que le palais qui date du XIXe siècle, qui date environ de 1850, soit reconstruit de la même manière qu’au début du XIXe siècle. L’architecte dit, « moi je ne peux pas faire ça » parce qu’au XIXe siècle, il y avait deux familles qui habitaient dans le palais. Aujourd’hui, comme c’est une université, il y a beaucoup de monde qui travaille, il y a le personnel, il y a des étudiants, etc., donc il faut que ce soit beaucoup plus solide. Aussi aujourd’hui tous les bâtiments doivent répondre à des normes contre les tremblements de terre,  des normes antisismiques. 

L’architecte dit « je dois le mettre aux normes antisismiques, donc pour mettre des normes antisismiques ». Il faut que l’architecte utilise ce qu’on l’appelle en français le béton armé. La commission des monuments historiques, elle dit « Oui mais au XIXe siècle, ça n’existait pas, donc, vous ne pouvez pas l’utiliser ». Donc l’architecte et la commission des monuments historiques ne sont pas d’accord. Cela n’avance pas. Alors qu’est-ce qui a été fait ? Le nouveau recteur, Monsieur Ertuğrul Karsak, est membre d’une commission importante qu’on appelle commission de conciliation et qui a proposé que trois architectes expérimentés réputés soient chargés de proposer une solution intermédiaire, qui essaye de répondre aux exigences à la fois aux exigences de l’architecte et aux exigences des monuments historiques. Le problème est que, quand on change une petite chose dans le plan de l’architecte, ça entraine des changements dans tout le reste. Donc en ce moment, l’architecte doit refaire tout le projet et une fois qu'il l’aura déposé, nous espérons que la commission de monuments historiques l’approuvera.


Alors le problème est plutôt administratif ? 
J. J. Paul : Pour l’instant ce n'est pas un problème financier. C’est la fondation Galatasaray qui a commencé de collecter l’argent pour reconstruire le bâtiment. On a commencé  à collecter de l’argent puis on a arrêté parce que ce n’est pas la peine de chercher de l’argent aussi longtemps que nous n’avons pas l’autorisation de le reconstruire. Le jour où nous aurons l’autorisation pour reconstruire, on relancera, on  recommencera la collecte de l’argent pour financer les travaux. 


Quelle est le prix de la restauration ? 
J. J. Paul : 25 millions de TL, peut-être plus d’aujourd’hui 


Il y a une rumeur dans le nouveau contrat avec l’Etat turc et un nouveau lieu pour notre campus, est-ce que l’université de Galatasaray va déménager ? Est-ce qu’il existe un projet du  gouvernement français pour accompagner une université privée en Turquie comme le cas de Galatasaray ? 

J. J. Paul : Croyez-moi c’est une parfaite rumeur mais aucune discussion. Au contraire montrer nous avons reçu au départ comme le bâtiment a brulé il y a trois ans deux janvier 2013en certain nombres de rumeur  ont circulé, certain disant, on va construire un hôtel, comme ça etc. etc. en réalité, on a demande l’autorisation au gouvernement que le bâtiment continue a être un bâtiment destinée a l’université galatasaray, donc ça continue comme université, nous avons reçu l’autorisation du gouvernement. Donc comme quoi effectivement le bâtiment est restée université donc on a l’autorisation, c’est ecrit bon, j'en ne peux pas garantir évidemment, je ne suis pas gouvernement… on est toutes les autorisations, tous les documents officielles que nous avons aujourd’hui garantissent que l’université galatasaray va rester ici et que le gouvernement français va continuer a rester présent, exactement de la même manière, ça c’est le parfaite rumeur. 


Une fois qu’il décidé de déménager, il faut qu’il prenne la permission du gouvernement français ? 

J. J. Paul : No, oui et no ; déménager no, l’université galatasaray,  a été fondée en 1992 dans ce cas la, 23 ans avec un accord bilatéral, un accord diplomatique, entre le gouvernement français et le gouvernement turc pour fonder l’université galatasaray, donc c’est un accord diplomatique, c’est quelque chose de très fort, dans point vue politique. 

Entre nous, cet accord, il ne dit rien de localisation de l’université, d’accord il dit on fonde l’université et etc. etc. mais il ne dit rien pour la localisation, si par hasard alors vraiment n’est pas du tout du tout doute dans cet hypothèse-là si par hasard, l’université galatasaray déménageait, si d’accord conservait, il n’y a pas de raison le gouvernement français n’accompagne pas, si vous voulait mais c’est pas du tout, c’est vraiment pas une hypothèse corroient, on a d’autre projet j’en peut pas parler… 

Ce ne dépend pas à nous, premier septembre, si l’architecture va bien, on voit sans doute de projet se fin mais c’est en retard…mois je suis encore là pour un an et demi. Je suis en normalement mon contrat se finit à la fin du mois de 2016. J’aurais bien voulus bien évidemment que le bâtiment sera reconstruit avant que je parte. 


Combien de temps la restauration  va durer ? 
J. J. Paul : on pense en un an le bâtiment prêt réutilisable, du point vue de la restauration il y a deux chose, comme ça un bâtiment historique qui a construit le recoud mais un aspect très important pour nous aussi qu’ils sont des fresk, des peinture et tout ça, voyez ici regarder sans d’état, les détailles, ça c’est fait plus de temps, un an pour la partis physique pour réutiliser le bâtiment sans comme des fermes comme des peinture et fresks 
Oui, c’est dans l'absolue c’est possible, il faut monter les projets, les universités sont prêts, la je dirait la balle dans les collègues turcs, il faut que les collègues dans la science politiques monter un projet et cherche un partenaire, en ce moment je ne sais pas si ça marchait mais un travail sur un projet avec de département de littérature étrangère pour avoir même diplôme avec l’université d’expansé, bien sur moi je pousse effectivement au développement de ces projets, on an projet master avec double diplôme  avec l’ENSI de Lyon , école nationale supérieur d’ingénieur de Lyon